" la nature et tout ce qui grandit,
la paix et tout ce qui s'épanouit,
tout ce qui fait la beauté du monde est fruit de patience,
demande du temps,
demande du silence,
demande de la confiance." Hesse.

dimanche 21 février 2021

« Je souhaite proposer des visites avec un guide touristique sur mon exploitation »

À Ingrandes-de-Touraine dans le vignoble de Bourgueil, Gabriel a créé il y a 3 ans son exploitation avicole Des Poules et des Vignes. Le jeune agriculteur élève quelque 5 000 volailles, abattues sur place pour être vendues fraîches ou transformées à la conserverie. Des produits authentiques et savoureux qui répondent aux attentes des consommateurs.




Comment avez-vous adapté vos activités au cours de l’année écoulée ?

La crise oblige à se réinventer et à trouver de nouveaux débouchés. Les restaurateurs représentent une part importante de nos ventes de volailles et continuent de commander pour leurs plats à emporter. Mais ce sont surtout les ventes aux particuliers qui ont explosé, notamment après un reportage diffusé dans le JT de 13h de TF1. Pour satisfaire la demande, nos volailles, plats traiteurs et conserves sont vendus sur la place de marché de producteurs Pourdebon depuis août dernier. Nos bocaux sont commercialisés dans les épiceries, chez les cavistes et les magasins de produits locaux. Et nous avons aussi notre boutique en ligne (nouvelle fenêtre).

Consommer local devient-il un réflexe partagé sur le territoire selon vous ?

Nous avons un magasin sur l’exploitation, mais ce n’est pas simple de venir jusqu’à nous car nous sommes en pleine campagne. Le site Pourdebon nous rapproche des clients. Nous sommes aussi présents sur la boutique en ligne Mangez Touraine de la Chambre d’Agriculture d’Indre-et-Loire (nouvelle fenêtre) qui propose différents points-retraits. Je constate que les consommateurs recherchent des produits de qualité et veulent se faire plaisir avec une bonne volaille sur la table du week-end. Le bien-être animal et le respect de l’environnement font aussi partie de leurs préoccupations. Sur l’exploitation, nos volailles vivent en plein air dans les vignes pendant au moins 180 jours et sont nourries aux grains entiers.

Sur Internet et les réseaux sociaux vous partagez votre quotidien, pourquoi ?

Cela apporte bien sûr de la visibilité, mais ça permet surtout de présenter notre travail. Pendant le confinement, les vidéos en direct de l’élevage et du laboratoire et le partage de recettes ont servi à montrer que nous continuions nos activités pour nourrir la population.

Avez-vous une nouvelle initiative à partager ?

Je souhaite accueillir le public sur l’exploitation et leur proposer des visites avec un guide touristique. Après le tour de l’exploitation, les visiteurs partageront un repas dans une loge de vigne que je vais faire rénover. J’espère que cette activité pourra démarrer cet été.

Source : https://www.centre-valdeloire.fr/lactualite-de-la-region-centre/je-souhaite-proposer-des-visites-avec-un-guide-touristique-sur-mon

actualité février 2021

 Races anciennes confinées ! Tout le monde se porte très bien , enfermé en bâtiment depuis le 20 novembre ! #gelinedetouraine #Noiresduberry #perlesnoires #coucouderennes #houdan #gournay #gauloiseblanches #coqsmarans

Pour satisfaire les besoins nécessaires (qui est de gratter avec leur pattes), de toute mes volailles , je distribue une partie de l’aliment au sol . Cela permet aussi de s’occuper !










-5 degrés , on est dans les températures idéales , pour la digestion du maïs par les canards !! Si on pouvais avoir ça toute l’année !!



Déjà au gavage à 4 jours d’engraissement , on peut dire en fonction du comportement des canard, et de leur façon de digérer le maïs , qu’il y aura des foie gras de superbes qualité !



Un paradis !